Nos ÉES Phase 1 n'ont jamais été refusées en financement ou par le gouvernement. Elles sont fouillées et adaptées aux besoins des projets de nos clients. L'attention que nous y mettons fait notre réputation. C'est notre fierté et notre force, elles tiennent la route et permettent des économies et évitent les mauvaises surprises. s tout à fait un "test de sol" comme certains disent (voir l'onglet "Information utile" à ce sujet). Elle sert à identifier ce qui nécessite d'être vérifié tant au niveau des sols, de l'eau souterraine que des matières résiduelles ou matériaux. La Phase 1 peut être suivie d'une Phase 2 et ensuite une Phase 3 parce qu'en Phase 1 on aura identifié le besoin de vérifier et s'il y a vérification, il faut quantifier.
Nos ÉES Phase 1 n'ont jamais été refusées en financement ou par le gouvernement. Elles sont fouillées et adaptées aux besoins des projets de nos clients. L'attention que nous y mettons fait notre réputation. Nos études tiennent la route et permettent des économies et évitent les mauvaises surprises. C'est notre fierté et notre force.
Lorsqu'il est recommandé en Phase 1 de vérifier la qualité environnementale des sols, les eaux souterraines ou la dangerosité de certains matériaux et comme le projet le requiert, il convient de procéder à une campagne d'échantillonnage. On procède alors à la réalisation de sondages. Les échantillons prélevés sont soumis à des essais en laboratoire (analyses). Pour obtenir des échantillons, nous procédons selon les besoins à des forages, des tranchées, l'échantillonnage d'empilements, la collecte de matériaux (éclats de peinture, frottis de surface, phases minérales dans les recouvrements intérieurs ou extérieurs (amiante), échantillonnage en vrac, etc.) Nous pouvons réaliser tous les travaux de caractérisation requis en Phase 2 grâce à un réseau de contacts développé depuis des décennies auprès d'entrepreneurs et fournisseurs qualifiés.
Lorsque la Phase 2 a vérifié la qualité environnementale d'un terrain et que certains résultats démontrent une non-conformité, il s'agit, si requis par le client ou son projet, de procéder à la quantification des éléments non conformes. Cette phase 3, beaucoup moins exploratoire peut sembler similaire à la Phase 2, mais son objectif est fort différent. Il s'agit à cette étape de mesurer les concentrations de contaminants trouvées en Phase 2 à divers endroits pour déterminer l'étendue, l'épaisseur et le degré de contamination sur les zones du terrain affectées par la contamination. On cherchera aussi, selon les circonstances, à quantifier et caractériser les impacts à l'eau souterraine sur le terrain, à ses limites (parce que l'eau souterraine ne peut être contenue dans le terrain) et à l'extérieur de celui-ci selon que des récepteurs sont impactés ou qu'il est appréhendé qu'ils le soient. Les matériaux s'avérant être des matières résiduelles (dangereuses ou non) sont aussi quantifiés selon qu'ils sont enfouis ou en l'état de matériaux composant des constructions.
Dans ce service, Envirodoc possède encore toutes les qualifications requises de même que l'expérience pour mener à bien cette tâche avec l'appui d'un réseau d'entrepreneurs et fournisseurs qualifiés.
La réhabilitation de site ou la mise aux normes d'un terrain contaminé requiert des équipements lourds ou des procédures spécialisées que seuls les entrepreneurs licenciés ou les firmes spécialisées dans la mise en oeuvre de méthodes de réhabilitation in situ peuvent réaliser dans le respect de la Loi, la sécurité des bâtiments et du public de même qu'en termes d'efficacité. Dans ce genre de travail dont les coûts sont beaucoup plus importants que ceux des études qui les précèdent, le travail du consultant est de contrôler ces travaux plutôt que de les faire. Cela est en raison du conflit d'intérêt évident qui réside dans le scénario d'un entrepreneur qui se soumet lui-même à l'évaluation de la qualité de son travail. Il importe qu'une indépendance totale soit à la base du travail d'évaluation de l'atteinte des objectifs de réhabilitation d'un site. Le rôle d'un conseiller indépendant répond à ce besoin.
L'enlèvement de réservoirs requiert la réalisation d'un contrôle environnemental des sols sur le pourtour et le fond de la fosse du ou des réservoirs de même que dans les tranchées de conduites de produit pétrolier. Parfois, il faut aussi contrôler la qualité de l'eau souterraine avant, pendant ou après l'enlèvement des équipements de stockage et distribution. Envirodoc assure un contrôle environnemental adéquat des travaux d'enlèvement d'équipements ou de réhabilitation suite à leur retrait et travaille en collaboration avec les acteurs impliqués. Grâce à son réseau de contacts, Envirodoc travaille efficacement avec divers entrepreneurs spécialisés dans ce genre de travaux. Au besoin, Envirodoc peut retenir les services d'une personne reconnue par la Régie du Bâtiment du Québec pour surveiller et certifier des travaux d'enlèvement de réservoirs régis par le régime de "permis d'utilisation d'équipements pétroliers à risques élevés"(1).
1) Si vous avez une station-service, un équipement de ravitaillement des bateaux en marina ou un distributeur de produits pétroliers sur un site industriel ou agricole avec réservoirs souterrains d'une capacité supérieure à 500 litres pour l'essence, kérosène ou diesel ou 4 000 litres pour le mazout de chauffage ou hors-sol avec des capacités supérieures à 2 500 litres pour l'essence ou 10 000 litres pour les autres incluant le mazout de chauffage, vos équipements sont assujettis à la détention d'un "permis d'utilisation d'équipements pétroliers à risques élevés" et ils sont visés par le contrôle des équipements par une personne reconnue par la régie du Bâtiment.
Deux déclencheurs de la LQE obligent le gardien (son propriétaire, le promoteur ou le locataire selon les cas) à réaliser des études attestées. Il s'agit de la cessation d'activités désignées par le Règlement sur la Protection et la Réhabilitation des Terrains (RPRT) ou le changement d'usage d'un terrain sur lequel de telles activités ont eu lieu. L'attestation d'un professionnel reconnu sera aussi requise pour des études réalisées dans le cadre d'une demande d'autorisation ministérielle dans plusieurs types de projets assujettis au Règlement sur l'encadrement d'activités en fonction de leur impact sur l'environnement ou pour obtenir une subvention dans le cadre du programme Climatsol-Plus. Plusieurs de ces projets requièrent l'approbation de plan de réhabilitation, l'attestation par un professionnel reconnu, ou encore se conforment à la déclaration de conformité produite encore là par un professionnel reconnu.
D'autres services peuvent relèvent d'expertise en matière d'intervention sur les terrains contaminés. Envirodoc a accompagné toutes sortes de clients dans toutes sortes de situations:
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